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Le développement et la crise d'adolescence 2006-2014
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CPGE TB - Historique des TB
Écrit par MEYER   

 

Texte d'Alphonse MEYER,
professeur agrégé honoraire de biochimie - génie biologique

4) Le développement et les crises d'adolescence 2006-2014

S’ouvrit alors une période de relative sérénité pour cette CPGE technologique

Les nouveaux programmes se mettent en place (sont-ils bien adaptés aux élèves et aux cursus envisagés ?). Le nombre d'étudiants se stabilise avec des classes qui font à peu près le plein (sans être bondées) et les résultats aux concours sont plus qu'honorable et la CPGE TB semble enfin remplir sa mission première: la promotion d'élèves de l'enseignement technologique en leur permettant d'accéder à des postes de hautement qualifiés.

Déjà dans les années 80 il avait été envisagé d'ouvrir de nouvelles classes. Une étude de faisabilité pour une CPGE TB à Nantes était sur le point d'aboutir quand la période de crise des années 90 a fait capoter le projet. Du coup seules les 3 sections ont perduré pendant plus de 30 ans

Le ministère de l'agriculture, qui était campé sur sa politique en faveur des ATS, a fini par comprendre que l'intérêt des bacheliers STAV ne passait pas par cette filière (où la réussite d'anciens bacheliers technologiques est quasi nulle). Il y eu donc création de CPGE TB au sien de lycées agricoles (Amily en 2007 et Le Rheu en 2009) sans que ce ministère ne se concerte avec l'EN (afin de respecter sans doute une vieille tradition de mésentente cordiale!).  Mais de son coté l'EN sans plus de concertation fait de même : en 2011 ouvertures de  trois nouvelles classes préparatoires TB à Lyon, Lille et Marseille, puis Limoges en 2012.

Sauf que le responsable des concours agro-véto est le ministère de l'agriculture et qu'il a donc la haute main sur le nombre de places aux concours réservées aux CPGE TB. Il a bien tenu compte des ouvertures de classes en son ministère mais a ignoré superbement le flux supplémentaire de candidats suite aux ouvertures de l'EN.

La prochaine crise est en gestation !!  La période de relative sérénité  va prendre fin à cause de l’ouverture des nouvelles CPGE TB, 6 depuis 2007 sans que des places en nombre suffisant soient ouvertes dans les écoles pour accueillir ces nouveaux candidats. Les ENV en particulier augmenteront leurs effectifs de 80 étudiants en 2013 : 60 seront recrutés sur la filière BCPST, 20 sur la filière ATS et 0 sur la filière TB !

Les "hostilités" vont débuter par une lettre de Jean-Paul BRUNET, Président de l’UPBM à Monsieur Vincent PEILLON, Ministre de l’Éducation Nationale (7 décembre 2012). Une lettre  dans le même sens a été adressée à Madame Geneviève FIORASO, Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche (12 décembre 2012).

Les conseillers qui ont accueillis l'UPBM aux deux ministères ont été sensibles à nos interrogations et nous espérons que ces deux audiences permettront rapidement d’améliorer la situation actuelle qui crée une injustice flagrante pour les étudiants issus d’un bac technologique par rapport aux autres bacheliers (le problème évoqué ne concernant pas les autres classes préparatoires aux grandes écoles pour lesquelles les quotas d’intégration ne sont pas dégradés).

Mais pas d'avancé significative de nos revendication sinon un renvoi à la DGER. De ce coté on n'est pas pressé puisqu'ils nous avaient fait savoir lors des rencontres qu'à priori ils attendraient 2015 pour envisager les adaptations nécessaires le cas échéant.

La réponse est attendue pour ? (2015 ?)

 
 

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