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Evolution ou révolution Joomla! - the dynamic portal engine and content management system http://hbiotec.eu/joomla1.5/index.php 2024-04-27T15:03:54Z Joomla! 1.5 - Open Source Content Management Conclusion 2010-03-26T10:44:13Z 2010-03-26T10:44:13Z http://hbiotec.eu/joomla1.5/index.php?option=com_content&view=article&id=25:conclusion&catid=18:revolution-sociale-et-ethique&Itemid=21 Administrator postmaster@hbiotec.eu <p align="center"><strong><br /><span style="color: #ff00ff;"><span style="font-size: medium;"><span style="color: #ff00ff;">Conclusion</span></span></span></strong></p> <p>D'aucuns mettent en garde contre un risque non négligeable dans certaines filières de déstabilisation sociale liée à la mise en place des biotechnologies. Ils voient le risque de provoquer des remous sociaux comme il s'en est déjà produit lors des précédentes révolutions technologiques, mais les temps sont différents et les mentalités également .... Il est certain qu'il n'y aurait que des bénéfices à prévenir un tel état de chose ......</p> <!-- phpmyvisites --> <p align="center"><strong><br /><span style="color: #ff00ff;"><span style="font-size: medium;"><span style="color: #ff00ff;">Conclusion</span></span></span></strong></p> <p>D'aucuns mettent en garde contre un risque non négligeable dans certaines filières de déstabilisation sociale liée à la mise en place des biotechnologies. Ils voient le risque de provoquer des remous sociaux comme il s'en est déjà produit lors des précédentes révolutions technologiques, mais les temps sont différents et les mentalités également .... Il est certain qu'il n'y aurait que des bénéfices à prévenir un tel état de chose ......</p> <!-- phpmyvisites --> Risque pour la société 2010-03-26T10:40:59Z 2010-03-26T10:40:59Z http://hbiotec.eu/joomla1.5/index.php?option=com_content&view=article&id=24:risque-pour-la-societe&catid=18:revolution-sociale-et-ethique&Itemid=21 Administrator postmaster@hbiotec.eu <p style="text-align: center;"><span style="color: #ff00ff;"><span style="font-size: medium;"><span style="color: #ff00ff;"><br />Biotechnologies et risques pour la société<br /><br /></span></span></span></p> <p>L'introduction massive des biotechnologies ne va pas être sans effet sur les modes de production traditionnels, les amenant à ne plus être compétitifs ... Ceci est particulièrement préoccupant dans le domaine de l'agriculture, que ce soit dans les pays développés ou en développement. Certains exemples seront cités ici :<br />            - les édulcorants et le marché du sucre<br />            - l'hormone de croissance bovine<br />            - les plantes transgéniques et le risque de voir certaines compagnies en position de monopole.</p> <h2><span style="color: #0000ff;"><strong> Les édulcorants </strong></span></h2> <p>La consommation des édulcorants est essentiellement liée à celle des boissons gazeuses sucrées ("soft drings") et à celle de préparations culinaires industrielles, en particulier à celle des glaces. Celle ci a globalement augmenté mais celle des formes traditionnelles (sucres de canne et de betterave) n'a pas augmenté dans les mêmes proportions du fait de l'apparition sur le marché d'édulcorants nouveaux tels que, entre autres, les HFCS (obtenus à partir d'amidon, donc de céréales) et l'aspartame.... Un autre édulcorant issu d'une plante cultivée dans les pays tropicaux (la thaumatine) vient d'être obtenu par cultures cellulaires....<br />Les pays qui traditionnellement produisaient du sucre ont vu leur économie être mise à mal par la concurrence des HFCS ; certains produisant la thaumatine ne vont subir le choc ....</p> <h2><span style="color: #0000ff;"><span style="color: #0000ff;"><strong> L'hormone de croissance bovine </strong></span></span></h2> <p>L'hormone de croissance bovine augmente, entre autres, la production laitière des vaches... Elle peut désormais être produite en grande quantité par la voie du génie génétique : il s'agit de la rBGH (pour "recombinant Bovin Growth Hormon"). Il est certain que son utilisation à grande échelle va restreindre, aux USA et partout où une telle politique sera mise en place, le nombre de producteurs de lait : que vont faire ceux qui seront mis sur la touche ?</p> <h2> <span style="font-size: medium;"><span style="color: #0000ff;"><span style="font-size: small;"><strong>Les plantes transgéniques et les pays en développement </strong></span></span></span></h2> <p>Les paysans du Tiers monde ne pourront jamais racheter chaque année leurs semences (résistantes, par exemple, à un herbicide) à un industriel : ils ne pourront bénéficier des progrès réalisés .....et le problème de la faim dans le monde ne sera pas en voie de solution .... </p> <!-- phpmyvisites --> <p style="text-align: center;"><span style="color: #ff00ff;"><span style="font-size: medium;"><span style="color: #ff00ff;"><br />Biotechnologies et risques pour la société<br /><br /></span></span></span></p> <p>L'introduction massive des biotechnologies ne va pas être sans effet sur les modes de production traditionnels, les amenant à ne plus être compétitifs ... Ceci est particulièrement préoccupant dans le domaine de l'agriculture, que ce soit dans les pays développés ou en développement. Certains exemples seront cités ici :<br />            - les édulcorants et le marché du sucre<br />            - l'hormone de croissance bovine<br />            - les plantes transgéniques et le risque de voir certaines compagnies en position de monopole.</p> <h2><span style="color: #0000ff;"><strong> Les édulcorants </strong></span></h2> <p>La consommation des édulcorants est essentiellement liée à celle des boissons gazeuses sucrées ("soft drings") et à celle de préparations culinaires industrielles, en particulier à celle des glaces. Celle ci a globalement augmenté mais celle des formes traditionnelles (sucres de canne et de betterave) n'a pas augmenté dans les mêmes proportions du fait de l'apparition sur le marché d'édulcorants nouveaux tels que, entre autres, les HFCS (obtenus à partir d'amidon, donc de céréales) et l'aspartame.... Un autre édulcorant issu d'une plante cultivée dans les pays tropicaux (la thaumatine) vient d'être obtenu par cultures cellulaires....<br />Les pays qui traditionnellement produisaient du sucre ont vu leur économie être mise à mal par la concurrence des HFCS ; certains produisant la thaumatine ne vont subir le choc ....</p> <h2><span style="color: #0000ff;"><span style="color: #0000ff;"><strong> L'hormone de croissance bovine </strong></span></span></h2> <p>L'hormone de croissance bovine augmente, entre autres, la production laitière des vaches... Elle peut désormais être produite en grande quantité par la voie du génie génétique : il s'agit de la rBGH (pour "recombinant Bovin Growth Hormon"). Il est certain que son utilisation à grande échelle va restreindre, aux USA et partout où une telle politique sera mise en place, le nombre de producteurs de lait : que vont faire ceux qui seront mis sur la touche ?</p> <h2> <span style="font-size: medium;"><span style="color: #0000ff;"><span style="font-size: small;"><strong>Les plantes transgéniques et les pays en développement </strong></span></span></span></h2> <p>Les paysans du Tiers monde ne pourront jamais racheter chaque année leurs semences (résistantes, par exemple, à un herbicide) à un industriel : ils ne pourront bénéficier des progrès réalisés .....et le problème de la faim dans le monde ne sera pas en voie de solution .... </p> <!-- phpmyvisites --> Risque sur environnement 2010-03-26T10:38:51Z 2010-03-26T10:38:51Z http://hbiotec.eu/joomla1.5/index.php?option=com_content&view=article&id=23:risque-sur-environnement&catid=18:revolution-sociale-et-ethique&Itemid=21 Administrator postmaster@hbiotec.eu <p style="text-align: center;"><span style="color: #ff00ff;"><span style="font-size: medium;"><br />Biotechnologies et risques pour l'environnement<br /><br /></span></span></p> <p>La publication des premiers protocoles de génie génétique en 1973 (sur des micro-organismes) suscita la crainte des chercheurs : beaucoup de biologistes considérèrent qu'il s'agissait d'une pratique à haut risque. Une conférence eut lieu à ce sujet à Asilomar : un moratoire des expériences fut décidé en 1975 pour un an et des mesures restrictives furent prises : les micro-organismes manipulés génétiquement devraient être confinés et empêchés de se disséminer dans l'environnement. La crainte était que ces micro-organismes allaient modifier la "balance de la nature" et que l'ADN étranger aille altérer l'activité métabolique d'une manière imprévue et indésirable, causant à l'environnement et à l'homme des dégâts insoupçonnés et irréparables. La littérature de science fiction avait déjà entamé le débat avec la mise en scène d'organismes génétiquement modifiés capables de détruire, par exemple, les réserves de matières premières ....</p> <p>Des règles de sécurité furent établies et la recherche contrôlée se développa. Au début des années 1980 fut autorisée la production en grand fermenteur de protéines à usage pharmaceutique (insuline, hormone de croissance, .... firme américaine Genetech) issues de micro-organismes recombinants. Celles ci reçurent leur autorisation de mise sur le marché (AMM) en 1982 - 1985. Les produits obtenus étaient exempts de tout fragment d'OGM et faisaient preuve d'une efficacité biologique au moins identique à celle du produit extractif. Le problème du contrôle de la dissémination éventuelle de ce type de micro-organismes recombinants avait été résolu avec succès. Celui concernant les effets de la dissémination de plantes transgéniques est encore en discussion.</p> <p> Les connaissances scientifiques et techniques ayant progressé, on en vint à penser non plus confiner les OGMs dans des bioréacteurs (fermenteurs), mais à les laisser se développer librement dans l'environnement :<br />            - pour améliorer cet environnement (par exemple, des micro-organismes réalisant le "nettoyage" biologique d'un sol souillé par des contaminants chimiques (bioremédiation)) <br />            - pour, dans le cas de plantes, améliorer les performances des cultures végétales (plantes aux qualités intrinsèques améliorées, plantes insensibles aux herbicides, aux prédateurs, plantes moins consommatrices en eau ....).</p> <p>Le problème posé est alors celui des relations des OGMs avec les autres organismes. Ne va-t-il pas y avoir transfert des caractéristiques modifiées à d'autres organismes, créant ainsi des effets involontaires et dommageables ?<br />Les connaissances concernant les interactions entre les populations microbiennes d'un écosystème sont encore fragmentaires, en particulier en ce qui concerne les échanges de matériel génétique, mais de nombreuses études précises sont en cours actuellement.Il faut noter qu'aucun effet néfaste de la libération dans l'environnement d'OGMs n'a été cité à ce jour....<br />Il en est de même pour les plantes et pour, par exemple, le transfert de la résistance aux herbicides d'une plante à une autre. Là encore, vu l'enjeu économique, beaucoup d'études sont en cours. La question est de savoir si, comme dans le cas du nucléaire, elles peuvent être menées en parfaite objectivité.</p> <!-- phpmyvisites --> <p style="text-align: center;"><span style="color: #ff00ff;"><span style="font-size: medium;"><br />Biotechnologies et risques pour l'environnement<br /><br /></span></span></p> <p>La publication des premiers protocoles de génie génétique en 1973 (sur des micro-organismes) suscita la crainte des chercheurs : beaucoup de biologistes considérèrent qu'il s'agissait d'une pratique à haut risque. Une conférence eut lieu à ce sujet à Asilomar : un moratoire des expériences fut décidé en 1975 pour un an et des mesures restrictives furent prises : les micro-organismes manipulés génétiquement devraient être confinés et empêchés de se disséminer dans l'environnement. La crainte était que ces micro-organismes allaient modifier la "balance de la nature" et que l'ADN étranger aille altérer l'activité métabolique d'une manière imprévue et indésirable, causant à l'environnement et à l'homme des dégâts insoupçonnés et irréparables. La littérature de science fiction avait déjà entamé le débat avec la mise en scène d'organismes génétiquement modifiés capables de détruire, par exemple, les réserves de matières premières ....</p> <p>Des règles de sécurité furent établies et la recherche contrôlée se développa. Au début des années 1980 fut autorisée la production en grand fermenteur de protéines à usage pharmaceutique (insuline, hormone de croissance, .... firme américaine Genetech) issues de micro-organismes recombinants. Celles ci reçurent leur autorisation de mise sur le marché (AMM) en 1982 - 1985. Les produits obtenus étaient exempts de tout fragment d'OGM et faisaient preuve d'une efficacité biologique au moins identique à celle du produit extractif. Le problème du contrôle de la dissémination éventuelle de ce type de micro-organismes recombinants avait été résolu avec succès. Celui concernant les effets de la dissémination de plantes transgéniques est encore en discussion.</p> <p> Les connaissances scientifiques et techniques ayant progressé, on en vint à penser non plus confiner les OGMs dans des bioréacteurs (fermenteurs), mais à les laisser se développer librement dans l'environnement :<br />            - pour améliorer cet environnement (par exemple, des micro-organismes réalisant le "nettoyage" biologique d'un sol souillé par des contaminants chimiques (bioremédiation)) <br />            - pour, dans le cas de plantes, améliorer les performances des cultures végétales (plantes aux qualités intrinsèques améliorées, plantes insensibles aux herbicides, aux prédateurs, plantes moins consommatrices en eau ....).</p> <p>Le problème posé est alors celui des relations des OGMs avec les autres organismes. Ne va-t-il pas y avoir transfert des caractéristiques modifiées à d'autres organismes, créant ainsi des effets involontaires et dommageables ?<br />Les connaissances concernant les interactions entre les populations microbiennes d'un écosystème sont encore fragmentaires, en particulier en ce qui concerne les échanges de matériel génétique, mais de nombreuses études précises sont en cours actuellement.Il faut noter qu'aucun effet néfaste de la libération dans l'environnement d'OGMs n'a été cité à ce jour....<br />Il en est de même pour les plantes et pour, par exemple, le transfert de la résistance aux herbicides d'une plante à une autre. Là encore, vu l'enjeu économique, beaucoup d'études sont en cours. La question est de savoir si, comme dans le cas du nucléaire, elles peuvent être menées en parfaite objectivité.</p> <!-- phpmyvisites -->